Chapitre 22 - Kaichou wa maid sama

Et voilà l'avant dernier chapitre de cette histoire ♥ 

J'espère qu'elle vous aura plu. 

J'y ai mis vraiment tout mon coeur >< 

Et sachez qui si ça prend autant de temps, c'est que je fais très -peut-être trop- attention au détails... 

A très vite pour l'épilogue ♥

PV Misaki }

 

Les choses prirent une tournure tout à fait différente, sans pour autant être déstabilisantes. Takumi ne m’avait guère laissé le choix pour venir vivre à nouveau avec lui. Il m’avait carrément agrippé dès la première journée, sans me laisser l’occasion de retourner chez Sakura. Et pour dire vrai, je n’avais aucune envie d’aller ailleurs. Ce fut donc d’un commun accord, que je ramenais à nouveau mes affaires chez lui. À une différence près, la pièce dans laquelle j’avais autrefois dormi n’était plus vraiment ma chambre… Enfin… Je ne vais pas vous faire un dessin tout de même. Cet idiot d’extraterrestre refusait même de me laisser pour dormir. Ce fut donc ainsi que les premières nuits et toutes les suivantes aussi, se déroulaient dans son propre lit… Enfin, le notre au final. Mais bref ! Il m’avait d’ailleurs fait une réflexion assez pertinente : est-ce que j’allais continuer à travailler au maid latte ? Je n’avais plus de dettes à rembourser depuis la saisie de la maison parentale et j’avais même réussit à mettre quelques sous de côté alors que je partais en vacances pour voir ma mère et ma sœur. Une vraie première ! Je n’avais jamais réussi à avoir une somme pareille sur mon compte… C’était à se demander ce que je pourrais en faire. J’avais voulu payer ma part de loyer avec Takumi, mais il avait simplement ignoré ma question en souriant, me faisant bien comprendre qu’il était hors de question que je participe à quoi que ce soit niveau finance. Je ne pus que soupirer, en laissant tomber. Je savais pertinemment que partir sur ce genre de conversation avec lui était peine perdue. Est-ce que je laissais tomber pour autant ? C’était mal me connaitre. Le lendemain même, j’étais sortie faire des courses, remplissant le frigo de quelques vivres qui m’étaient indispensable, et achetant quelques ustensiles féminins. Si cet appartement devenait aussi le mien, il fallait bien que je pose mes marques par ci par là. Takumi avait grogner en rentrant, mais en voyant quelques petits détails en place, tel que ma brosse à dents à côté de la sienne ou le nouvel ensemble de linge de bain que je m’étais acheté près du sien, le sourire lui revint rapidement. Pour dire vrai, concernant le maid latte, je préférerais continuer. Ce n’était plus une question d’argent mais d’affinité. J’appréciais réellement de travailler là-bas et puis mes collègues et ma patronne me manquerait vraiment. Pour l’instant, j’avais donc décider de continuer, en tout cas jusqu’à ce que mes études me le permettent. Et puis, je pourrais continuer à mettre de côté pour les études supérieures qui me trottaient dans la tête depuis quelque temps. Le temps passait inexorablement et je me réjouissais d’imaginer un avenir avec celui que j’aimais plus que tout. Un futur heureux et réalisable, sans frontière, sans chaines, rien que lui et moi…

 

PV Takumi 

 

Trois mois s’étaient écoulés depuis ma rupture avec mon ex-fiancée. J’avais pensé que mon beau père m’aurait rapatrié immédiatement au pays afin de me trouver un nouveau boulet, mais rien. Il m’avait simplement fait parvenir un message par un domestique, disant que tout était sous contrôle. C’est ça vieux schnock, rêve toujours. J’avais décidé que quoiqu’il fasse ou dise, je ne bougerais plus d’ici. Et pour son héritage, dont il me baratinait tant les oreilles, il pouvait bien se le mettre où je pensais. Je n’en avais pas eu une miette depuis des lustres, je n’étais certainement pas prêt à ramper à ses pieds pour ça maintenant.

 

Je frottais mes yeux embrumés par le sommeil, finissant par repousser les mèches rebelles devant mes yeux vers l’arrière. Je décrochais un bâillement sonore, avant de glisser mon regard vers Misaki. Elle dormait encore paisiblement, son bras avait glissé le long de mon torse quand je m’étais redressé pour m’assoir sur le lit. Elle grommela en se rapprochant de moi, entourant mon bassin de ses deux bras, posant sa tête sur ma cuisse. En temps normal, je n’aurais pas résisté à ce tentant appel à la paresse, surtout un dimanche matin. Mais je savais que ce rendez-vous était important et je n’avais pas intérêt à le louper, surtout que c’était moi qui l’avait demandé. Je soupirais de plus belle, essayant de délier les bras de ma compagne sans la réveiller, ce qui fut peine perdue. Misaki avait toujours eu un sommeil léger. Elle ouvrit les yeux difficilement, battant des paupières tel un papillon en plein envol et parla d’une voix roque et endormie.

 

- Takumi…. ? demanda-t-elle d’une voix basse en grommelant.

- Désolée ma belle, rendors-toi, dis-je en retirant ses bras de mon bassin, alors que je me tournais pour sortir difficilement les jambes du lit.

 

Punaise, l’hiver commençait vraiment à faire son effet. Le froid mordait la peau de mes jambes et je dus lutter à nouveau pour ne pas me replonger dans les draps chauds et les bras accueillants de ma dulcinée. Misaki tendit son bras vers moi, caressant l’arrière de mon dos pour se faire remarquer.

 

- Où est-ce que tu vas ? marmonna-t-elle alors que ses yeux peinaient à rester ouverts.

- J’ai un rendez-vous important… expliquais-je en me motivant moralement à y aller.

 

Je me retournais vers Misaki qui semblait sur le point de me répondre à nouveau, lui volant un baiser furtif. Les paroles moururent alors sur ses lèvres alors qu’elle me fixa simplement d’un air interrogatif. Je lui répondis par un sourire rassurant, déposant un nouveau baiser, cette fois-ci sur son épaule dénudée, la faisant frissonner.

 

- Je serais de retour avant midi, dis-je en remontant les draps sur Misaki qui me répondit par un simplement marmonnement.

 

Je déposais un nouveau baiser sur son front, m’habillant rapidement sortant de la chambre à pas de loup alors que le soleil n’avait pas encore montré le bout de son nez.

 

J’avais exceptionnellement accepté un chauffeur pour cette fois. Les deux heures de trajets qui me séparait de mon rendez-vous seraient bien trop longues si je devais les faire en transports en commun. Déjà que le faire un dimanche ne m’enchantait guère, si je devais en plus y perdre la journée, j’aurais de quoi hurler. Je regardais le trajet sans dire un mot, alors que le soleil se levait enfin dévoilant les paysages froids en ces derniers jours de novembre. L’hiver rude et blanc habituel ne tarderait pas à montrer le bout de son nez. Pour mon plus grand déplaisir… Je ne supportais pas le froid… Je poussais un soupire las, essayant simplement de me concentrer sur les musiques aléatoires qui passaient à la radio. Les deux heures de trajet me paraitraient certainement interminables.

 

Les roues de la voiture crissèrent sur l’allée de la villa familiale, avant de s’arrêter complètement devant les escaliers donnant sur les portes principales. Je n’attendis pas le chauffeur pour sortir de la voiture, me dirigeant vers l’énorme villa, remerciant vivement le chauffeur, lui demandant d’attendre mon retour. Il se courba en avant, sans piper mot, alors que j’ouvrais les lourdes portes de la demeure le cœur battant. Cette maison n’avait pas changé et les domestiques semblaient identiques à ceux de mon enfance. C’était pourtant impossible, personne n’était hors du temps. J’avançais d’un pas décidé alors que certaines femmes en costume de soubrette se courbaient à ma vue, chuchotant entre elles. J’entendais entre autres des timides "jeune maître" qui me donna des sueurs froides. Que ce soit dans la demeure de Wheeler ou dans celle-ci, je n’avais jamais aspiré à ce titre. Je continuais mon trajet dans ces couloirs interminables avant d’arriver à destination devant cette lourde porte en bois. Petit, elle m’avait semblé infranchissable, comme coulée dans du béton et je l’avais très peu de fois franchie. J’avais par ailleurs, peu de fois vu la personne qui se trouvait derrière. Mais malgré cela, nous étions liées, qu’on le veuille ou non. Je toquais à la porte, avant d’entendre une voix forte et grave me prier d’entrer. Je n’attendis pas une deuxième invitation avant de pénétrer dans la pièce, refermant la porte derrière moi. Un vieil homme au cheveux argentés était assis à son bureau, les traits tirés par la vieillesse et la fatigue. Ses yeux clairs se tournèrent vers moi et je ne vis pas cet air sévère qu’il me lançait étant petit. Au contraire, j’eus l’impression de voir ses pupilles s’étirer, une lueur vive s’éclairer, alors qu’il me fixait. Il se reprit rapidement et m’invita à m’assoir face à lui, d’une requête silencieuse.

 

Je me laissais le loisir d’examiner cet homme qui j’avais vu si peu de fois dans ma vie et pourtant son changement physique radical me choqua comme si je le connaissais par cœur. Son visage semblait s’être éteint et ses yeux étaient dénués de cette lueur victorieuse qu’il arborait encore une dizaine d’années en arrière. Son corps avait d’ailleurs grandement maigri, le rendant d’une fragilité saisissante, comme si la faucheuse se tenait prête à l’emporter lui aussi d’un instant à l’autre. Je ne pouvais pas vraiment dire que j’étais extrêmement attaché à cette personne, mais le voir dans cet état me mis extrêmement mal à l’aise, voire triste pour dire vrai.

 

- Takumi, clama-t-il d’une voix faiblarde comme pour m’inciter à expliquer la raison de ma venue.

- Grand-père… veuillez excuser ma soudaine requête à vous voir, m’excusais-je plus par formalité que par réel besoin.

- Que veux-tu donc ? grogna-t-il maussade et là j’eus l’impression de revoir l’homme qui m’avait accueilli quelques années auparavant. Ton nouveau titre ne te suffit donc pas ?

 

Je haussais un sourcil perplexe face à cette pique venant de l’homme qui m’avait accueilli enfant. Décelais-je dans sa voix une pointe de colère ? Et puis, mon nouveau titre ? Que voulait-il dire par là ? Parlait-il du nom des Wheeler que j’avais acquis, enfin… acquérir est un grand mot. Je n’avais pas vraiment eu le choix après tout. Je vis mon aïeul me lancer un regard dur, alors que sa main rugueuse se refermait sur son poing, laissant apercevoir ses veines saillantes déjà bien marquées par la vieillesse. Je savais qu’il n’avait jamais apprécier mon beau père, pour lui cet homme était responsable de la mort de ma mère biologique, Patricia.

 

{ PV Narratrice }

 

Patricia était le seul enfant de la famille Usui, la seule famille qui restait à ce vieil homme après la mort subite de son épouse, alors que Patricia n’était qu’une enfant. En mariant sa fille à un homme puissant, il pensait subvenir au besoin de sa descendance, l’épargnant d’une vie vide et difficile. Takumi savait que sa mère avait accepté ce mariage d’intérêt sans opposer de résistance, qu’elle avait joué au petite femme modèle pendant plusieurs années, avant de rencontrer son géniteur, un simple majordome de la maison de son père. Patricia était une femme pleine de vie, bien plus jeune que son mari et surtout elle aspirait à une relation emplie de sentiments et d’affection que son époux ne lui apportait pas. Elle avait caché son attirance pour cet homme du bas peuple, essayant de se persuader que cela ne lui apporterait rien de positif. Mais les absences répétées de son conjoint n’aidaient pas à faire disparaitre ce sentiment de solitude qui la rongeait et cette angoisse d’être incomplète. Elle se refugiait donc dans la demeure de son enfance, prétextant vouloir passer du temps avec son géniteur, croisant inévitablement celui dont son cœur se mourrait. Yuu était une personne talentueuse, avec un sens de l’humour quelque peu déplacé, mais c’était une personne droite et pleine de sentiments. Le maître de la maison remarqua bien évidement la proximité de son majordome et de sa fille, mais il ne fit rien. Cela faisait des lustres qu’il n’avait pas vu un véritable sourire sur les lèvres de son enfant, et puis pour dire vrai. Il n’avait que faire de son beau-fils, cet homme répugnant qui avait fait un enfant dans le dos de sa fille, prétextant qu’il n’avait pas eu le choix vu que Patricia n’arrivait toujours pas à tomber enceinte malgré leurs nombreuses tentatives.

 

Le destin fait parfois bien les choses, ou peut-être pas… Car depuis la naissance de son premier enfant, Mr Wheeler n’avait plus sollicité sa femme. Après tout, elle avait été incapable de faire la seule tâche qui lui avait été confiée, : lui donner un descendant, elle ne lui servait donc plus à rien. Mais cet homme était amer et au lieu de lui rendre sa liberté, il l’avait gardé jalousement près de lui, forçant la jeune femme à s’occuper de son nouveau-né. Après tout, Patricia était la plus belle fleur de toute l’Angleterre et partout, tous les hommes du pays rêvaient de l’avoir à leur côté. Les mois passaient alors qu’elle continuait sa relation secrète avec son amant, prenant soin du bambin de son mari qui alimentait son envie de créer sa propre famille. Et le temps exauça son souhait, créant en elle ce petit être qu’elle rêvait tant d’avoir. Sa grossesse ne passa pas inaperçue aux yeux de son mari, qui hurla de rage face à cette trahison, forçant sa femme à abandonner cet enfant.  Mais Patricia se défendit bec et ongles, se refugiant dans une maison familiale de son père, afin de donner naissance à ce petit être blondinet, son petit rayon de soleil. La jeune femme n’eut pas l’opportunité de profiter longuement de son fils, son accouchement l’avait épuisé, la bataille féroce avec son mari l’avait énormément affaibli, sans parler du stress et de la disparition soudaine de son amant. Mr Wheeler l’avait découvert… elle n’osait imaginer ce qu’il lui avait fait endurer… Pendant le travail, malgré l’envie de vivre près de son fils, elle savait pertinemment qu’elle ne survivrait pas. Elle pria les domestiques de sauver son fils, son précieux enfant, le fruit de son amour sincère. Les cris du petit Takumi emplissait la pièce alors que Patricia peinait à reprendre son souffle. L’accouchement avait été long et douloureux, de plus la jeune femme avait perdu une quantité incroyable de sang, elle faisait une hémorragie interne. Elle laissa les larmes coulées sur ses joues, alors que la domestique posait le bambin sur sa poitrine. Le bébé attrapa le doigt de sa mère, serrant fortement celui-ci dans son petit poing alors que ces pleurs cessaient, laissant entrevoir ses beaux yeux clairs. Patricia sourit tendrement à son enfant, alors qu’elle murmurait ses dernières paroles, d’une voix fatiguée. Avant de fermer définitivement les yeux, laissant son beau sourire se mourir sur son visage.

 

"Mon beau petit Takumi…"

 

L’enfant fut délaissé par Mr Wheeler, ne voulant même plus entendre parler de sa défunte femme. Takumi fut donc élevé par son grand-père maternel, qui repartit au Japon lieu qu’il chérissait, pour y élever cet enfant. Il fut un précepteur plutôt froid et distant. La mort de sa fille était encore vive dans sa mémoire et le bambin qui grandissait de jour en jour ressemblait comme deux gouttes d’eau à sa tendre fille. Mais il savait que cet enfant était important pour elle et malgré son caractère bougon, il s’occupa de cet être du mieux qu’il put.

 

Richard, le maître de maison, fixa son petit fils sans dire un mot, agacé que cet enfant revienne vers lui après tout cela. Il était quelque peu blessé par cette histoire, malgré le fait qu’il ne l’ait jamais vraiment montré, il aimait sincèrement son petit fils et le voir partir auprès de cet homme ignoble et sans scrupule après tout ce qu’il avait fait pour lui, lui avait fait très mal. Il était loin de se douter la crainte qu’imposait cet homme à Takumi, tout comme il l’avait imposé à sa fille.

 

Le visage de Takumi se raidit quelque peu à ses paroles, et Richard vit encore les anciennes mimiques de son enfant. Patricia avait toujours été très sûre d’elle, peut-être trop, et quand elle perdait confiance, le même tic était visible sur son visage. Elle n’était pas sa mère pour rien…

 

- Je n’ai jamais voulu de ce titre… marmonna Takumi d’un air plus irrité qu’il ne l’aurait voulu.

 

Richard se détendit, sachant pertinemment que son petit fils était sérieux. Son visage était bien trop grave pour qu’il se moque de lui. Il avait tendance à laisser courir un sourire amusé sur ses lèvres quand il plaisantait… encore une manie de sa mère. Il pria son petit fils de continuer son récit, après tout, il avait peut-être été rapide en besogne. Il ne connaissait aucun détail à cette histoire. Il n’avait pas voulu savoir en vérité. Takumi lui expliqua, la mort de Gerald, le fils légitime de Mr Wheeler et pourquoi après presque vingt ans de rejet, cet homme exécrable revenait lui retirer son unique descendant. Takumi n’avait jamais voulu rejoindre son beau-père, mais il avait été pris dans les mailles du filet avant même d’avoir vu venir quoique ce soit. Et puis, Richard se doutait qu’il devait le faire chanter d’une manière ou d’une autre… Cet homme fonctionnait comme ça. Il était bien le meurtrier de l’amant de sa fille… Venant de lui, plus rien ne pouvait l’étonner.

 

Takumi continua d’ouvrir son cœur à son grand-père, expliquant toute l’histoire dans les moindres détails. Il parla longuement de Misaki, cette femme si vive et adorable qu’il aimait plus que tout. Et à nouveau, le vieil homme vit en lui sa fille. Il avait lui aussi trouver l’amour, le vrai… en dehors de la hiérarchie et des faux semblants. L’homme sentit son cœur empli d’un sentiment nouveau, il n’avait jamais été aussi proche de son petit fils et tout cela le comblait au plus haut point. Après un long monologue, Takumi posa une question qui lui brulait les lèvres. Il était prêt à le faire, prêt à mettre en marche son plan, qui il l’espérait fonctionnerait correctement.

 

- Je voudrais vous demander grand-père… Puis-je redevenir un Usui … ?

 

Il ancra ses yeux verts dans les pupilles dorées de son aïeul en attendant sa réponse. Le vieil homme rouvrit son poing fermé, s’adossant plus confortablement dans son fauteuil.

 

- Il n’en a jamais été autrement, clama le vieil homme un furtif sourire aux lèvres.  

 

Le sourire radieux de Takumi éblouit son aïeul, alors qu’il lisait toute la gratitude du jeune homme dans ses yeux. La situation était gênante pour Richard, mais il appréciait tout de même ce cocon confortable et heureux dans lequel ils s’étaient enveloppés.

 

- J’espère que mon nom et ma maigre influence pourront te protéger mon enfant… Toi et ta promise.

 

 

C’était tout ce qu’il pouvait espérer. Que cet amour ne les détruise pas comme sa fille autrefois. Takumi remercia son grand père chaleureusement, avant de quitter la pièce, promettant au vieil homme de revenir rapidement pour lui présenter Misaki. Richard ne répondit rien à son engouement, se disant simplement pour lui-même, qu’il aimerait être encore là, quand son fils de cœur prendrait cette voie qui semblait lui tenir tant à cœur. Il l’espérait vraiment…

 


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Commentaires: 4
  • #1

    Bubulle (dimanche, 17 juin 2018 21:30)

    Juste. ❤️❤️❤️

    Je t’adore! Bisous bisous

  • #2

    Hikari (lundi, 18 juin 2018 10:38)

    Tellement mignon, j’ai finis par verser une larme x’) <3

    Hâte savoir la suite *-*

  • #3

    Misaki—Chan (mercredi, 20 juin 2018 08:05)

    Très chouette chapitre encore une fois ! �

  • #4

    Ayumi (mercredi, 20 juin 2018 21:31)

    Merci à vous trois les filles ♥
    Je vous dis à très vite pour le prochain.
    Bisous !