Part. 4 - Undertale

Hey mes tits loulou en sucre !  Voilà mon beau chapitre 4 :DD 

Bon je préviens d'avance, celui ci est largement à classer dans la catégorie Public averti !

Je me suis clairement un peu laisser aller x) C'est un lemon, sans vraiment en être un.

Déçus ? Le soyez pas ♥  Je l'ai en tête ce petite bébé, il va pas tarder. :D 

Mais en attendant contenter vous de ça mes débauchés ! 

Je vous fais plein de bisous !! 

Papyrus attrapa le téléphone entre ses phalanges alors que celui-ci cessa de sonner, laissant une simple notification d’appel en absence. Le grand squelette soupira, sachant pertinemment qui était l’auteur de cet appel masqué. De quoi avait-elle eu peur cette fois-ci ? … Sue ne tarda pas à revenir dans le salon, une petite silhouette derrière elle, cachée soigneusement derrière le corps de la semi-humaine. Papyrus reconnut sans aucun mal la petite Lynn, qui titubait sur ses petites pattes d’un air timide s’accrochant à la jupe de Sue. Lynn était un jeune monstre hors du commun, comme Sue et Kei, elle était le mélange de deux races qu’autrefois personne n’aurait permis. Niveau corporel, elle était tout à fait semblable à sa mère, enfin à l’une de ses mères, car oui dans le monde des monstres un enfant ne se créait pas forcement corporellement, comme chez les humains. Cela pouvait se faire chez certaines races, mais tous pouvaient également procréer par leur âme. Cela vous semble irréel ? Vous êtes si humains… Soit, Lynn était petite, elle arrivait à peine aux hanches de Sue malgré ses trois ans bientôt atteins. Sa peau écailleuse était d’une jolie couleur orangée et son corps se terminait par une fine queue de lézard. Elle possédait deux grands yeux d’origine aquatique, ses pupilles étaient fines et étendues, alors que l’intégralité de ses yeux était d’un jaune translucide. Sur chaque joue, la jeune fille arborait de petites nageoires, souvent cachées par ses longs cheveux roux ondulés. Elle souleva la patte timidement, lançant un salut de la main à Papyrus, sa petite tête dépassant à peine de derrière Sue. Papyrus lui sourit gentiment, lui attribuant également un salut de la main, qui fit sourire la petite en rougissant. Elle tenait vraiment du caractère de la scientifique.

 

Le téléphone ne tarda pas à se remettre à hurler, cette fois-ci ce fut une autre personne qui appelait et la chanson que jouait l’appareil électronique ne laissait aucun doute à Papyrus. Cette musique entrainante, presque violente, était celle qu’il avait programmé pour sa meilleure amie : Undyne. Papyrus prit le téléphone en main et décrocha après quelques secondes, la voix hurlante d’Undyne lui fit presque lâcher le portable.

 

- Hey, Papy, s’exclama Undyne d’un air trop jovial de sa voix presque hurlante.

- Undyne… murmura Papyrus sans vraiment trop savoir quoi ajouter.

 

Le squelette réussit néanmoins à percevoir certains sons à travers le téléphone, tels que la timide voix d’Alphys qui semblait marmonner pour elle-même, une station de radio humaine qui hurlait des programmes divertissants du soir et le bruit d’une voiture en route. Bon au moins, cela expliquait un peu près pourquoi Lynn s’était retrouvée devant sa porte d’entrer. Le grand squelette n’eut pas besoin d’attendre plus longtemps avant que sa meilleure amie ne lui fournisse de plus amples explications.

 

- On est partit faire un tour avec Alphys pour la soirée. J’étais certaine que cela ne te dérangerait pas de garder notre petite Lynn quelques heures, commença Undyne continuant de parler de sa voix forte et assurée. On sera de retour pour la récupérer avant minuit !

 

Papyrus ne put s’empêcher d’avoir un sourire amusé au visage. Bien entendu que cela ne le gênait pas de garder la petite Lynn, après tout un de plus ou un de moins, il n’y voyait plus aucune différence. Et comparé à ses neveux, la petite Lynn avait un certain avantage, elle était très calme et douce. Quand il ne gardait que le petit monstre semi aquatique et reptile, le calme était à l’honneur dans la maison. C’était parfois même un peu… troublant. Il soupira par réflexe, se notant qu’un jour il se reconvertirait peut-être en nourrice. Après tout, tout le monde semblait le prendre pour le baby-sitter dévoué.

 

- Pa…Papyrus avait peut-être déjà quelque chose de prévu… balbutia Alphys d’une voix si basse que Papyrus eut presque du mal à l’entendre.

- Nahhh, maugréa Undyne en faisant claquer sa langue contre son palais. Il s’occupe déjà des rejetons de Frisk et Sans. La notre à côté, c’est un petit ange Alphys !

 

Papyrus ne put s’empêcher de sourire encore une fois, Undyne était vraiment incroyable, mais c’était ce qu’il lui avait toujours plus chez elle. Elle était spontanée dans ses paroles et hors de question pour la femme poisson de mâcher ses mots. Il continua d’écouter attentivement la conversation des deux monstres, réussissant à percevoir la voix cristalline d’Alphys qui bafouilla à nouveau.

 

- Sue et Kei ne sont pas des diables non plus …

- Undyne parla d’une voix plus hilare et Papyrus put imaginer sans aucun mal un sourire étirer son visage bleu. C’est clair que quand on voit la base de ses deux-là, ils auraient pu devenir de véritables petits monstres, dit-elle avant de partir en fou rire.

 

Papyrus soupira à la mauvais blague d’Undyne. Si elle se mettait à faire des jeux de mot aussi… Où irait le monde ? L’ancienne garde royale avait bien entendu voulu faire une blague sur la nature des jumeaux, ils étaient à moitié monstres par le sang de leur père et à moitié humains, par celui de leur mère et plaisanter sur le fait que leurs parents avaient toujours été très taquins. Papyrus se rassura en entendant un soupire venir également d’Alphys, avant que celle-ci ne rigole, contaminée par l’hilarité de sa conjointe. Pour dire la vérité, Papyrus avait un mal fou à se retenir de sourire aussi.

 

- Bref, je compte sur toi pour t’occuper correctement de notre petite poupée Papy ! À tout à l’heure, dit-elle avant de couper court à la conversation téléphonique.

 

Papyrus posa le téléphone sur la table en secouant la tête négativement, un sourire amusé au visage. Il n’avait même pas pu placer une simple phrase dans cette conversation, mais soit. Il avait l’habitude avec Undyne. Après tout, Sans avait fait pareil avec ses propres enfants. Ils s’étaient pointé en début d’après-midi, les enfants sous le bras et avait prétendu une sortie de couple pour s’éclipser sans même demander l’avis de son petit frère. Heureusement pour lui, Papyrus aimait vraiment ses neveux. Et puis, il n’avait pas grand-chose à faire de ses journées…

 

Le grand squelette se tourna vers les trois enfants, qui avaient continuer de dessiner sur la table basse pendant que l’adulte téléphonait. Les trois paires d’yeux enfantines se posèrent sur lui, attendant de voir ce que ferait leur nounou provisoire. Papyrus s’installa à nouveau avec eux, prenant une feuille vierge afin de dessiner un rapide croquis de cinq personnages bien connus. Il montra son dessin aux enfants qui sourirent tous en même temps, comprenant où le monstre voulait en venir.

 

- Je vais vous raconter une nouvelle histoire les enfants. Une histoire où j’apparais avec vos parents, à une soirée des plus spéciale, narra-t-il en continuant de dessiner, faisant bouger les cinq personnages respectifs. Qui n’était autre que Sans, Frisk, Papyrus, Undyne et Alphys.

 
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Sans et Frisk sortaient à présent ensemble depuis quelques semaines, sans l’avoir réellement dit à qui que ce soit. Non pas qu’ils aient prévus de se cacher, ils n’avaient tout simplement pas trouvé le bon moment pour en parler. Et puis, les autres avaient dû le remarquer, vu qu’ils étaient à présent toujours fourrés ensemble. Cette après-midi ne fut pas une exception, après ses quelques heures de travail à l’infirmerie, Frisk s’était empressée d’aller chez les frères squelette pour y passer un peu de temps avec son nouveau petit ami. Elle toqua à la porte d’un air enjoué se balançant sur ses jambes comme une enfant de dix ans. Elle rit à cette comparaison, depuis qu’elle savait que ses sentiments étaient réciproques, elle était d’une humeur radieuse comme une enfant à qui tout lui réussissait. Elle attendit quelques minutes avant d’entendre quelqu’un dévalé les escaliers et la porte s’ouvrir à la dérobée sur un Papyrus souriant.

 

- Humaine ! Quel plaisir de te voir, dit-un en se reculant pour laisser son invité entrer.

- Bonjour Papy. Contente de te voir aussi.

 

Frisk s’approcha du grand squelette, se hissant sur la pointe des pieds afin de lui déposer un simple baiser sur l’os de sa joue droite en signe de bonjour. Le plus jeune frère rougit, toujours tout sourire, avant de se gratter l’arrière du crâne d’un air gêné.

 

- Nyeh Heh Heh, ri-t-il d’un air terriblement embarrassé.

 

Frisk ne put s’empêcher de rire à la réaction de Papyrus, il avait toujours été terriblement candide et cela n’avait pas l’air d’avoir changé avec le temps. Elle avança à l’intérieur de la maison, laissant Papyrus fermer la porte derrière elle. Elle se retourna vers son hôte, lui souriant avant de simplement déposé son sac à main sur le canapé en velours vert.

 

- Je suis venue vous embêter un petit peu, plaisanta Frisk. Je me suis dit qu’on pourrait peut-être passer l’après-midi ensemble, si cela vous tente.

- Le sourire de Papyrus s’étira encore plus, alors qu’il sautillait carrément sur place tel un enfant. Voyons, tu ne nous déranges jamais Frisk ! Et au contraire, je suis heureux que tu veuilles passer du temps avec nous. Cela fait si longtemps que nous n’avons pas partagé une activité ensemble.

 

Frisk ne put s’empêcher de se sentir un peu coupable vis-à-vis des mots du jeune squelette. C’était elle qui avait maintenu un écart entre eux trois quand elle avait eu sa période rebelle, quand elle s’était rendu compte qu’elle n’arrivait plus à regarder Sans de la même manière que quand elle était enfant. Et sans le vouloir, elle avait blessé Papyrus qui avait été attristé par sa soudaine distance et puis ensuite, elle était partie ailleurs ce qui n’avait pas dû arranger les choses.

 

- Excuse-moi Papyrus… Je te promets qu’on va rattraper le temps perdu, susurra-t-elle d’un sourire qui se voulait réconfortant.

- Le squelette secoua la tête affirmativement aux dires de l’humaine, Va donc chercher Sans dans sa chambre. Moi, le grand Papyrus, vais nous préparer des popcorns pour regarder un excellant film entre amis !

 

Entre amis ? Les dires de papyrus ne purent que la faire sourire… S’il savait. Elle acquiesça se dirigeant vers les escaliers alors que Papyrus s’empressa de se rendre aux fourneaux afin de préparer les fameux popcorns. Frisk grimpa les escaliers sans se presser, se dirigeant vers la chambre de Sans qui était entrouverte. Elle poussa la porte doucement passant sa tête dans l’entrebâillement, s’attendant à voir Sans étendu sur son matelas, mais rien. Elle pénétra dans la pièce sombre, levant les yeux vers le plafond scrutant les quatre coins de la chambre. Pas de Sans flottant… ouf… Elle se dirigea vers la seule fenêtre de la chambre et ouvrit les volets, laissant entrer la lumière dans la pièce, ce qui la rendit tout de suite plus accueillante. Certes, elle était très désorganisée mais au moins maintenant on y voyait quelque chose.

 

- Il pourrait au moins ouvrir les volets, dit-elle en soupirant.

 

Son petit ami était vraiment incorrigible. Elle lança un nouveau regard dans la pièce, ne trouvant que des chaussettes sales éparpillées un peu partout, un vieux bureau poussiéreux et encombré et un lit de fortune. Mais pas de Sans. Où était-il passé ? Elle soupira, laissant son regard se balader dans la pièce. Ses yeux furent attirés par une note collée au loin sur un pan de mur. Elle n’était pas là la dernière fois … si ? Prise d’une curiosité maladive, elle s’approcha peu à peu, pour lire l’écriture écrite si petit qu’elle devait mettre sa tête à quelques centimètres du bout de papier jaune. Elle plissa les yeux, se concentrant sur l’écriture en patte de mouche et épela les syllabes comme si elle lisait pour la première fois.

 

- Derr…ière ? … Toi ? … marmonna Frisk en lisant la note.

 

Elle n’eut pas le temps d’assimiler les mots qu’elle venait de dire qu’elle sentit quelque chose de froid se déposer sur ses lèvres, bloquant un cri de frayeur qu’elle sortit automatiquement. Quelque chose entoura sa taille, l’attirant en arrière, bloquant son corps contre quelque chose de chaud et ferme. Elle baissa son regard vers l’objet qui obstruait sa bouche remarquant une main dépourvue de peau, au fines phalanges blanches.

 

- Alors ma curieuse, on dirait que tu viens de tomber sur un os ? dit l’assaillant d’une voix charmeuse.

 

Frisk ne put lui répondre, car sa bouche était toujours bloquée. Elle ne réussit qu’à marmonner quelques sons mécontents dans la paume de son assaillant, ce qui eut pour effet de le faire rire. Ledit agresseur retira sa main de la bouche de la demoiselle, la retournant dos au mur alors qu’il bloquait les deux poignets de l’humaine dans une de ses mains. Il lui attribua un sourire amusé et joueur qui eut pour effet de faire rougir Frisk, comprenant ses intentions.

 

- Ça t’amuse de te moquer de moi, Sans ? grogna-t-elle semi mécontente. Elle n’appréciait pas vraiment les attaques surprises enfaite. 

- Le squelette rit en plaquant les deux mains de la demoiselle au-dessus de sa tête contre le mur, la mettant dans une position quelque peu suggestive. Tu ne peux pas savoir à quel point, princesse.

 

Il déroba un baiser à la demoiselle, appuyant sur sa mâchoire de sa main libre afin de lui faire ouvrir la bouche. Il captura la langue de Frisk, l’enroulant autour de la sienne dans un baiser fougueux et intense. Frisk se liquéfiait à son contact, essayant de se défaire de son emprise au niveau de ses bras, sans grand succès. Elle ondula du bassin, totalement à la merci de Sans alors que celui-ci ne put s’empêcher de sourire à ses veines tentatives d’escapade. Il libéra les lèvres de la demoiselle, quelques minutes plus tard, la laissant rouge et haletante. Sa poitrine bougeait au rythme effréné de sa respiration et de ses battements de cœur et Sans ne put s’empêcher de penser qu’il n’y avait rien de plus excitant qu’une humaine troublée et émoustillée. À moins que ce ne soit parce que c’était Frisk, l’humaine en question…

 

- Et si je te punissais pour cet effroyable affront, murmura-t-il laissant sa main libre traverser le fin tissu de son haut, caressant innocemment la peau laiteuse de son ventre. Qu’en penses-tu Frisk ?

 

Elle se mordit la langue, empêchant sa bouche de produire un énième gémissement. Alors qu’elle frottait ses cuisses entre elles, espérant que la boule qui commençait à se former au niveau de son bas ventre finirait par disparaitre. Pourquoi diable ce squelette arrivait-il à la mettre dans cet état si rapidement ? Le sourire carnassier de Sans la fit bouillir intérieurement, alors que son ventre se tordait d’une délicieuse contraction. Son propre corps la trahissait…

 

- Puisque tu ne dis rien, je prends ça pour un consentement, lança Sans d’un sourire plus que satisfait.

 

L’œil droit de Sans s’illumina d’un bleu intense alors qu’il desserra l’emprise des bras de Frisk. Malgré tout, la jeune femme fut incapable de se mouvoir. Ses bras étaient toujours bloqués contre le mur par une force puissante et contrôlée par le squelette face à elle. Elle lui lança un regard surpris, lui qui ne voulait pas se servir consciemment de ses pouvoirs sur les autres, était pourtant en train de le faire. Et cela l’amusait même. Il haussa des clavicules d’un air innocent et laissa ses phalanges relever délicatement le haut de la demoiselle, pouvant à présent apercevoir un bout de dentelle du soutien-gorge. Il enroula le devant du haut sur lui-même, le plaçant devant les yeux de Frisk, l’empêchant d’apercevoir quoique ce soit. La dernière chose qu’elle vu, fut le sourire amusé de Sans qui lui fit comprendre qu’elle allait passer un sacré quart d’heure… Il empoigna son sein gauche délicatement, laissant le bout de ses phalanges caresser la parcelle de sa peau dénudée, au-dessus de sa poitrine. Cette partie de sa peau était plus rebondie et semblait être encore plus douce que ce qu’il avait touché d’elle auparavant, il bleuit sans le vouloir laissant sa main presser et titiller ce tout nouvel ami. Sa langue bleutée sortit de sa mâchoire, avant de lécher soigneusement la nuque de Frisk, laissant derrière elle une légère trace humide. La jeune femme frissonna de toute part, se tortillant sentant la main de Sans se frayer un chemin sous le tissu de son soutien-gorge. Un léger gémissement sortit des lèvres de Frisk, alors que ses joues prirent une teinte plus rouge, sa respiration commençant à s’accélérer. Elle sentit le souffle chaud de Sans sur son oreille droite, ainsi qu’un délicat mordillement.

 

- Ne fais pas trop de bruit, princesse. Où Papyrus va se poser des questions, chuchota-t-il en rigolant. À vrai dire, il se fichait complétement de ce que Papyrus pourrait entendre, mais il adorait la narguer.

 

De sa main gauche, il dégrafa aisément le sous vêtement de Frisk, libérant l’oppression sur sa poitrine, laissant sa main aller contre la peau douce et délicate de son sein. La jeune femme mordilla sa lèvre inférieure à ses paroles, empêchant tout autres sons de sortir de sa bouche. Elle était si mignonne et innocente… Cela lui donnait encore plus envie de la corrompre. Il abaissa son visage au niveau de la poitrine de Frisk, remontant son soutien-gorge au-dessus du visage de la jeune femme. Il passa sa langue sur son sein droit, lui arrachant un nouveau soupire de plaisir. Sa main continua de malaxer son autre sein, faisant onduler sa compagne contre lui. Elle redressa le buste en gémissant quand Sans eut la bonne idée de happer son sein entre ses dents, la laissant dans un état second. Elle sentit le squelette dessiner le contour de son mamelon de la langue, avant d’aspirer son téton durci et dressé, lui arrachant un nouveau cri de plaisir, alors qu’elle rejetait la tête en arrière. Sans sourit à la réaction de sa bien-aimée, laissant ses phalanges presser son autre sein, continuant ses douces tortures d’un enjouement non dissimulé pendant de longues et délicieuses minutes. De sa rotule, il écarta les jambes de Frisk, frottant son fémur contre son intimité, lui arrachant un hoquet de surprise. Frisk soupira à nouveau, essayant de toutes ses forces de se retirer de l’emprise de son amant. Sans s’en amusa, laissant sa jambe frictionner ce point si intime de son anatomie, laissant sa main inerte empoigner son sein, se délectant de sentir la folle cadence de son cœur à travers ses phalanges.

 

- S…Sans… réussit-elle à articuler entre deux gémissements, alors qu’elle refermait les doigts dans le vide, les bras toujours bloqués au-dessus de sa tête.

 

Le sourire de Sans s’étira d’une manière plus narquoise, alors qu’il souleva le bandeau de fortune qui obstruait la vision de Frisk, laissant retomber le haut de celle-ci cachant sa poitrine. La demoiselle lui lança un regard implorant, désireux, les yeux légèrement humides.

 

- Sans approcha son visage à quelques centimètres du sien, son sourire rieur toujours apparent. Oui, Princesse ?

- La voix de Frisk était faible, entrecoupée par sa respiration saccadée. Laisse-moi… te toucher… je t’en prie, murmura-t-elle en remuant les mains pour illustrer ses propos.

- La lumière bleu vif qui dansait dans l’orbite droit de Sans diminua peu à peu avant de laisser place à une simple pupille blanche, identique à son œil gauche. Tes désirs sont des ordres, ma chérie.

 

Immédiatement, Frisk ressentit la pression qui retenait ses bras au mur se retirer, la laissant libre de ses mouvements. Elle laissa retomber ses bras, enserrant les vertèbres cervicales de Sans, quelque peu gênée. Leur conversation visuelle dura quelques minutes, de longues minutes où Frisk sentit sa poitrine se soulever et s’abaisser au rythme de sa respiration saccadée, où le feu ardent qui s’était allumé au creux de ses cuisses s’intensifiait de seconde en secondes, depuis que son amant avait stopper ses douces frictions sur son intimité à vrai dire, où son esprit lui hurlait de passer à l’étape suivante… Sans, lui, retenait tant bien que mal son envie de se jeter littéralement sur l’humaine, dominant le désir puissant que lui hurlait son âme de la faire sienne. Sa magie brulait en lui d’une férocité hors norme. Il dévora l’humain du regard, ses joues rougies, ses yeux brillants et humides, ses lèvres pulpeuses formant un adorable o muet. Toutes ses démonstrations de son envie, de son excitation étaient si adorables et désirables, qu’il sentit la dernière corde qui le retenait à un esprit sain se rompre. Il plaqua le corps de Frisk contre le mur, la surplombant du sien. Il embrassa sa compagne avec passion ce qu’elle répondit favorablement en liant sa langue à la sienne, serrant ses bras autour des cervicales du squelette, l’obligeant à se caler encore plus à elle. Frisk ferma les yeux se délectant de toutes ses sensations si étourdissantes, rougissant en sentant un renflement au niveau du bassin du squelette. Sans possédait ce genre de chose ? … Elle aurait pourtant parié que les squelettes en était dépourvu… Elle ne put s’empêcher de sourire, continuant d’embrasser son amant, laissant son esprit imaginer sans mal… la suite… Ses mains se faufilèrent sous le t-shirt du squelette, s’amusant à griffer sensuellement l’une de ses omoplates, lui arrachant un râle de plaisir. Frisk se hâta à retirer, avec quelques difficultés, le vêtement du haut de Sans, l’envoyant valser dans un coin de la chambre. Elle ne réussit qu’à le maintenir assez éloigné le temps de le déshabiller à moitié, car il revenait à nouveau à la charge, l’embrassant de plus belle, lui faisant presque tourner la tête. Il débarrassa l’humaine de son haut et de son soutien-gorge de la même manière, encore plus difficilement que celle-ci, car la jeune femme s’amusait à l’enserrer de ses bras, le faisant grogner de plus belle. Il souleva Frisk par les fesses, la portant jusqu’à son lit de fortune avant de la faire basculer sur celui-ci, se laissant tomber avec elle, la bouche toujours liée à celle de sa partenaire. Il laissa ses mains se diriger vers le short de la demoiselle, alors que celle-ci caressait ses côtés d’un geste tendre et envieux. Il sentit ses phalanges entrer en contact avec la bordure du short en jean, n’ayant aucun mal à les glisser en dessous. Plus que quelques centimètres… Frisk poussa un soupire de plaisir, fermant les yeux face à sa descente si délectable, attendant avec impatience que le bout de ses doigts rencontre enfin ce point si fiévreux… Encore un peu…

 

- FRISK ! SANS ! LES POPCORNS SONT PRETS !! hurla Papyrus dans le salon, faisant sursauter les deux amants un peu hébétés.

 

Tous deux stoppèrent leur activité, ouvrant les yeux regardant en direction de la porte encore ouverte de la chambre. Sans jura en grognant, laissant son œil droit s’illuminer alors que la porte commençait à se refermer peu à peu, émanant une légère aura bleue.

 

- NE ME FAITES PAS MONTER VOUS CHERCHER VOUS DEUX !! continua d’hurler Papyrus en tapant du pied.

 

Sans soupira de plus belle, laissant son œil revenir à la normal avant que la porte n’eût le temps de se refermer complétement. Il savait pertinemment que Papyrus viendrait les chercher dans les minutes qui suivraient s’ils ne descendaient pas. Il fixa Frisk, son petit air intimidé, rouge comme une pivoine complètement offerte à lui et l’idée de la téléporter ailleurs où ils pourraient continuer ce qu’ils avaient entamer lui traversa l’esprit. Il laissa ses phalanges courir sur la joue de la jeune femme, souriant quand celle-ci posa sa tête dans sa main tel un chaton en recherche d’affection. Il se pencha, l’embrassant beaucoup plus délicatement, lutant avec ses mains pour ne pas les reposer sur son corps si désirable.

 

- Petit contretemps, princesse. On se doit de faire un petit temps mort, dit-il d’un air peiné.

 

Le regard de Frisk était fuyant alors qu’elle acquiesça de la tête, les joues rouges, frottant ses cuisses entre elles, posant un bras sur sa poitrine découverte. Sans lui attrapa la mâchoire entre deux doigts, la forçant à le regarder droit dans les yeux, sachant très bien qu’elle devait être quelque peu frustrée et dégoutée. Autant que lui enfin de compte…

 

- Mais sache que ce n’est qu’une question de temps, avant que tu ne sois toute à moi, chuchota-t-il.

 

Frisk rougit sévèrement, acquiesçant à nouveau, un faible sourire apparaissant sur ses lèvres. Sans se redressa aidant la demoiselle à faire de même alors que chacun alla récupérer les habits dont ils s’étaient débarrasser auparavant. En imaginant ce qu’ils s’apprêtaient à faire, Frisk ne réussit pas à retirer le rouge de ses joues et même en descendant les escaliers du salon, elle sentait son visage la bruler, chose que Papyrus remarqua immédiatement.

 

- Humaine ? Pourquoi es-tu aussi rouge ? demanda Papyrus d’une voix candide, les yeux curieux.

 

L’humaine ne put s’empêcher de s’empourprer encore plus, ne réussissant qu’à sortir des balbutiements incompréhensibles en réponse. Qu’allait-elle bien pouvoir lui dire ? Tout de même pas la vérité ? Non … ? Elle ouvrit la bouche et la referma aussitôt, tel un poisson en dehors de son bocal d’eau et baissa la tête en regardant ses pieds, sentant le regard de Papyrus lui traverser le crâne, la rendant encore plus gênée. Elle allait tuer Sans…

 

- Que veux-tu Frérot. Surprendre mes côtes si parfaites et dénudées alors que je roupillais tranquillement sur mon lit, la laisser toute chose, dit Sans en attribuant un clin d’œil à son frère, comme à chaque fois qu’il faisait une fichue mauvaise blague.

 

Papyrus grogna en tapant du pied, maugréant que son frère était vraiment incorrigible et demanda à tout le monde de s’installer sur le canapé. Frisk ne se fit pas prier lançant un regard gratifiant à Sans, qu’il répondit par un nouveau clin d’œil, cette fois-ci plein de sous-entendu. Elle haussa les yeux au ciel en souriant, s’installant au milieu du canapé entouré des deux frères. Papyrus posa un bol emplis de Popcorns chauds et sucrés sur les cuisses de Frisk et appuya sur la télécommande, lançant le début du film. Sincèrement, Frisk eut beaucoup de mal à se concentrer sur le récit du film, tant la proximité de Sans la troublait… bon c’était surtout sa main qui se perdait très souvent sur ses cuisses, loupant très souvent, comme par miracle, son atterrissage dans le bol de popcorns. Il n’appréciait pas vraiment tout ce qui était sucrée en plus…

 

Après plus d’une heure de film, la petite famille décida de faire un petit jeu de société au calme. Ils s’installèrent tous les trois autour de la table basse, sortant un simple jeu de carte qui aurait le mérite de les tenir occupés pendant plusieurs heures. Les rires et la bonne humeur se faisaient entendre de la maison des deux frères, alors que Frisk était complétement détendue, s’amusant à mettre une véritable raclée aux deux frères au poker. Elle rigola à nouveau, montrant sa main à la table faisant à nouveau hurler Papyrus de rage et soupirer Sans. Elle avait encore un jeu incroyable, elle gagnait haut la main. Mais par quel moyen faisait-elle cela ? Elle rit à s’en casser la voix, prise d’un fou rire comme elle n’avait plus eu depuis de longues années.

 

- Heureusement qu’on a rien parier. Je vous aurais carrément dépouiller, dit-elle fière de sa bonne fortune.

- Tu verras qui dépouillera l’autre la prochaine fois, gamine, ajouta Sans d’un air innocent et pourtant bien empli de sous-entendus. Heureusement que papyrus était trop prude pour comprendre ce sens de mots.

 

Frisk rougit en lui tirant la langue, sachant très bien qu’il la narguait avec ce surnom qu’elle n’appréciait plus tellement. Ses nouveaux surnoms étaient beaucoup plus affectifs. Le jeu reprit à nouveau, alors que les deux frères savaient pertinemment qu’ils risquaient une cinquième défaite d’affilée.

 

Heureusement pour eux, cela n’arriva jamais. Avant d’avoir pu terminer la partie, la porte d’entrée se mit à toquer et Papyrus s’empressa d’aller ouvrir. Son jeu était certainement pourri de base. Il coupa donc court au jeu, sous le regard amusé des deux autres qui avaient compris pourquoi le plus jeune venait de se faire la malle. Il ouvrit la porte d’un air enjoué, souriant de toute ses dents alors que la voix d’Undyne se fit entendre à l’autre bout du monde.

 

- Yoooo tout le monde !! On savait qu’on vous trouverait tous ici, clama-t-elle d’un sourire sincère.

 

Elle entra dans le salon sans y être invité, suivit de très près par Alphys qui la collait. Le monstre reptile salua tout le monde d’un geste de la main timide, alors qu’elle rougissait toujours cachée par l’imposante posture d’Undyne. Ces deux-là avaient toujours été très différentes et pourtant complémentaires. Frisk répondit au salut d’Alphys alors qu’elle reportait son attention sur Undyne qui n’avait nettement pas fini de parler. Le femme poisson s’approcha d’elle rapidement, la fixant d’un air suspicieux. Frisk eut l’impression de redevenir une enfant, quand elle avait piqué dans le pot de cookie et que Toriel l’avait pris la main dans le sac, ou plus précisément la main dans le pot. Elle rougit, se tassant sur elle-même, n’imaginant même pas ce que l’ancienne garde royale pouvait lui reprocher.

 

- Toi… commença-t-elle, continuant de la fixer d’un air réprobateur.

- Oui ? demanda Frisk en déglutissant.

- Tu vas tout nous dire…

 

Frisk sentit des sueurs froides lui couler dans le dos, alors qu’elle lança un regard implorant à Sans qui feint ne pas la voir. L’enfoiré… Elle continua de fixer Undyne, imaginant se prendre à nouveau une lance dans le bide à tout moment. L’ancienne gardienne avait toujours été ainsi, impressionnante en tout point. Alors qu’elle était prête à tout raconter sur sa relation pas secrète, mais secrète tout de même vu qu'au final personne n'était au courant, Undyne l’interrompit à nouveau, lui coupant la parole.

 

- Tu vas nous dire comment les humains font des pyjama party ! clama-t-elle le regard brulant.

 

Frisk ouvrit la bouche avant de la refermer quelque peu perdue. Quoi ? Des pyjama party ? C’était de cela dont parlait Undyne ? Elle soupira, quelque peu rassurée avant de regarder la femme poisson qui semblait surexcitée à l’idée de cette pyjama party.

 

- On a vu ce principe avec Alphys dans une de ses émissions animées humaines et ça à l’air tellement… Tellement Cool !! dit-elle avec engouement alors qu’Alphys confirma chacun de ses dires par un haussement de tête. Tiens, on va même le faire ici, ce soir ! Ce sera trop génial !!

 

Papyrus sembla tout aussi animé par cette idée de Pyjama party, alors qu’il ne savait même pas en quoi cela consistait. Sans, lui, continuait de feindre de dormir, alors qu’Undyne commençait à secouer Frisk tel un prunier. Bon… elle n’avait décidément pas trop le choix. 

 

N.C - Je ne sais pas si vous avez bien compris, mais rien de tout cela n'a été raconté aux enfants hein XD Papyrus leur racontera l'histoire de la fameuse Pyjama Party. 

 


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Commentaires: 2
  • #1

    Hanna (lundi, 26 juin 2017 20:03)

    Euh je t'avoue que quand j'ai lu "tu viens de tomber sur un os " j'ai pensé à un truc vraiment obscène et dégueulasse XD

    XDDD ca m'étonne tellement pas que Papyrus les ai dérangé haha mais je pensais qu'il entrait dans la chambre sur le coups mais non il criait d'en bas hahah et en plus il cale rien >.<

    Hate de lire la fois au Frisk va passer à la casserole et tomber sur l'os xDDD

  • #2

    Ayumi (lundi, 26 juin 2017 22:32)

    Venant de toi, je ne sais pas pourquoi cela ne m'étonnes plus xD Alors que mon jeu de mot était tout ce qu'il y a de plus sain :P

    Ahhh Papyrus, mon adorable Papyrus. On lui tordrait bien le cou ahahaha xD Mais nan, je l'aime trop pour ça. C'est pas moi perso préféré pour rien. Mais il est si candide ~ Je voulais pas le mettre devant ce genre de scène. Les bras lui en tomberaient, littéralement ahahah.

    Toi alors :P Faudra attendre cochonne ! Patience est mère de sureté ;D