Chapitre 17 - L’académie Alice

 Voilà l'avant dernier Chapitre en correction.
Pfiou j'en vois enfin le bout x.x
J’espère qu'il vous plaira et je vous souhaite une bonne lecture :3

Bisouilles <3

Une heure plus tard, Mikan émergea de sa lecture, encore un peu brumeuse. Certains élèves l'avaient déjà terminé et s’étaient retirés de la pièce. D’autres au contraire, étaient encore loin de la fin, plongés dans leur script. Elle jeta un regard sur Aoi qui avait rejoins Sumire, ayant également fini leur lecteur. Cela n’avait pas étonné Mikan d’ailleurs, Aoi était une experte en lecture de roman romantique, donc elle lisait très vite. Elle les rejoignit afin de discuter de leur future pièce de théâtre. Elles discutèrent calmement afin de ne déranger personne.

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Alors qu’est-ce que vous en avez pensé ? demanda Mikan en prenant place à droite d’Aoi.
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C’est vraiment trop mignon, j’adore ! Aoi ne put s’empêcher d’être plus qu’enthousiaste, ce qui fit rire Mikan et Sumire.
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C’est vrai que tu adores ce genre de lecture Aoi, la taquina Mikan en rigolant. Celle-ci rougit et grommela quelque chose d’incompréhensible ce qui accentua le fou rire de Mikan et Sumire, qui essayaient de rester le plus discrètes possible.
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Sumire cessa de rire et redevint sérieuse, Puis j’ai entendu dire que les baisers n’étaient pas fictifs dans la pièce, ordre de monsieur Narumi. Le sourire de Sumire s’étira au même moment qu’elle disait ses paroles.
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Quoi ? hurlèrent Aoi et Mikan en cœur.

Tout les élèves se tournèrent vers elles, ce qui leur value des regards haineux de part et d’autre de la pièce. Elles rougirent, s’excusèrent et se tournèrent vers Sumire afin de leur reposer la question en chuchotant. Celle-ci resta silencieuse, comme si elle n’avait pas entendu leur question. Mikan soupira, se rappelant que dans la pièce elle était la femme de Natsume et qu’elle devait donc l’embrasser et avoir quelques scènes plutôt intimes avec lui. Pour elle ce n’était pas un problème, mais qu’en pensait-il… Aoi, elle, resta de marbre toujours aussi rouge qu’une écrevisse. Tout était vrai… bon sang…

Le jour de la représentation arriva rapidement. Mikan et Aoi avaient eut quelques semaines pour mémoriser leur dialogue et le connaissaient à présent sur le bout des doigts. Elles avaient souvent répéter avec Luca. D’ailleurs, Aoi avait bien tenté de convaincre son frère de venir à leur répétition mais sans succès. Il était aussi têtu qu’une mule. La nervosité de Mikan concernant la pièce n’avait fait que grandir au fur et à mesure que la date butoir approchait.

Les parents, amis et les invités de l’école s’étaient regroupés dans l’énorme salle de représentation. L’entrée était gratuite pour tous, au grand bonheur de tous le monde. Le brouhaha était incessant et les spectateurs attendaient avec hâte le commencement de la pièce. La classe de Narumi, elle, s’activait en coulisse afin que tous soit parfait. Les dernières retouches sur les costumes étaient terminées et les acteurs vérifiaient à nouveau leur texte. Le stress augmentait au fur et mesure que les minutes se succédaient. Monsieur Narumi encouragea ses élèves une dernière fois et les trois coups de balais annonçant le levé du rideau retentirent dans la pièce. Tous les spectateurs se turent et regardèrent Aoi et Aya qui se trouvaient sur un décor représentant une colline d’herbe et un arrière plan d’océan. La voix narrative fit écho dans la pièce et tous semblaient bercer par cette belle histoire.

La pièce terminée, les élèves prirent le temps de saluer leur public qui les acclamait à haute voix. La représentation avait été un triomphe. Les spectateurs s’étaient régalés au plus grand bonheur de tous. Miko, la dame de compagnie de Kanha, avait pleuré durant toute la représentation et à la fin de la pièce, avait hurlé à sa jeune maitresse de faire le pas vers la maturité. Elle était surexcitée et ne cessait de dire que sa petite maitresse était la plus belle, la plus surprenante, la plus incroyable des jeunes filles qu’elle avait rencontré. Enfin, elle sortait tous les blablas possibles qu’elle pouvait trouver. Aoi en avait été rouge de honte. Kanha, elle, s’était contenter de suivre la pièce un sourire aux lèvres, discutant de temps à autre avec Yuka qui s’était assise à côté de son amie d’enfance. Son mari n’était pas là, pour le bien de tout le monde. C’était mieux ainsi.

Mikan et Aoi s’étaient retirés dans les coulisses, afin de se changer et se rafraichir après leur représentation. Mikan s’était assise sur une chaise, le regard las. Son sourire avait d’ailleurs disparut après sa scène principale, celle avec Natsume. Aoi retira sa perruque rose qui lui avait servit à se mettre dans la peau de China et se tourna vers Mikan qui n’avait donné aucun signe de vie.

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Mikan ?...
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On entendit un reniflement et Mikan passa furtivement sa main sur ses yeux afin de retirer l’humidité qui s’y était installer, Ce n’est rien Aoi… La lumière m’a éblouit, ça me pique les yeux. C’est tout…

Elle n’avait même pas réussit à se convaincre elle-même avec cette excuse bidon.

Pendant quelques instants, son cœur avait failli croire qu’ils étaient revenus au même stade qu’ils avaient été quelques mois auparavant. Ce baiser ressemblait tant à ceux qu’ils avaient échangé et puis cette étreinte… C’était plus qu’un simple rôle elle le savait. Mais cela la faisait tant souffrir… Aoi n’en cru pas un mot mais elle laissa sa meilleure amie tranquille, sachant très bien que tout ça l’avait énormément affectée. Elle se promit qu’elles en discuteraient plus tard, avec son frère. Même si pour cela, elle devait aller le chercher par la peau des fesses et l’attacher à une chaise. Elles finirent de se changer et revêtirent leur uniforme scolaire. Elles se dirigèrent vers la salle de représentation et s’installèrent au premier rang, où les grands avaient déjà laissé la place libre pour préparer leur pièce.

Aoi et Mikan remercièrent quelques personnes qui les félicitèrent pour leur représentation. Aoi faillit presque tombée par terre quand Miko se jeta sur elle, frottant énergiquement sa joue contre celle de sa petite protégée. Aussi bien, qu’Aoi eut une irritation à la joue droite. Miko finit par relâcher sa petite maitresse et alla s’assoir près de Kanha, pendant qu’Aoi massait sa joue douloureuse. Mikan fut prise d’un fou rire et Luca fit un adorable sourire afin de déposer un baiser sur la joue endolorie de sa petite amie. Aoi n’eut d’ailleurs pas l’opportunité de répondre quoique ce soit, que les trois coups de balais résonnèrent dans la salle. Les murmurent se turent et tous regarder la scène où Nobara et Misaki apparurent ensemble.

Mikan et Aoi s’étaient attendues à avoir des fou rire pendant toute la représentation, mais la vérité fut toute autre. L’histoire de Yumie fut complètement différente de celle à quoi elles s’attendaient. Pas de Yuri ou autre chose un peu tordue, c’était le récit de la jeune Mei, joué par Nobara, une jeune fille handicapée depuis l’enfance, n’ayant ni audition, ni parole. Kumi, jouée par Misaki, était sa meilleure amie d’enfance et jouait l’ange gardien de la jeune fille à l’école. C’était une histoire pleine de sentiment et surtout de moral. Tono jouait le rôle du jeune homme amoureux de  Mei qui se prenait souvent des râteaux par celle-ci, d’ailleurs Mikan et Aoi trouvèrent cela plus que comique, même si c’était un rôle se faire remballer par sa vraie copine, ça pouvait faire mal. Le lien qui unissait Mei et Kumi était plutôt flou d’ailleurs, mais venant de Yumie cela n’étonna personne.

La pièce battait déjà son plein depuis une bonne demi-heure. Elle semblait plaire tout autant que celle de la classe de Mikan et Aoi. Les spectateurs buvaient les mots des acteurs et attendaient patiemment la suite de l’histoire. Mikan et Aoi eurent l’impression d’être épiée et se retournèrent, un frisson dans le dos. Mais personne… c’était surement leur imagination.

La pièce se termina sous les applaudissements incessants de la salle. La classe de monsieur Nodachi salua son public et retourna dans les coulisses afin de se changer. Les représentations terminées, la gens commencèrent à quitter la salle, discutant des deux pièces qu’ils venaient de voir. Mikan et Aoi se dirigèrent vers leurs mères respectives, qui les félicitèrent pour leurs rôles. La salle était a présent vide, Yuka et Kanha discutaient tranquillement ensemble. Aoi s’excusa quelques instants et rejoignit Luca et Lina qui l’appelaient à l’extérieur de la salle. Mikan savait que le jeune homme voulait la présenter officiellement en temps que petite amie à ses parents et ce festival était le moment idéal. Aoi allait avoir des choses à lui raconter…

On entendit quelques applaudissements qui firent échos dans la salle à présent vide de monde. Tous se tournèrent vers la personne qui se trouvait devant la porte à présent close. Kanha blêmit et Yuka tourna au rouge vif, prise d’une colère incontrôlée.

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Et bien, je vois qu’on s’amuse bien derrière mon dos… Kanha, je veux des explications de suite, ordonna Hiro d’une voix rauque.

Mikan sentit la jeune femme déglutir en tremblant, son mari lui faisait vraiment peur et à vrai dire ce n’était pas la seule… Elle vit sa mère se dresser devant lui, comme pour protéger sa meilleure amie et lui lança un regard de défis. Mais celui-ci ne cilla pas à cet affront.

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Hiro, quelle désagréable rencontre. Tu n’aurais pas pu rester où tu étais, cracha Yuka.
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L’homme sourit à ces propos, restant aussi stoïque que possible, Ma chère Yuka. Je vois que tu n’as guère changé, toujours aussi belle et indisciplinée.
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Mikan vit sa mère trembler de colère et serrer son poing tellement fort, qu’elle voyait clairement les jointures blanchirent, Ne fais pas le malin !! Tu pourrais amèrement le regretter, siffla-t-elle.

Mikan fit quelques pas en avant pour s’approcher de sa mère. Elle avait peur pour elle, mais ne savait pas quoi lui dire ou faire face à cette situation. Elle s’accrocha à son bras et la sentit tressaillir, sa mère était vraiment une pile de nerfs à cette instants. Qu’est ce qui avait bien pu la mettre dans cet état ?

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Maman ? demanda timidement Mikan.

Elle sentit le regard de Hiro sur elle, ce qui la fit trembler. Ce regard voulait dire qu’elle n’attendait rien pour regretter le fait d’avoir trahit sa promesse, enfin plutôt ses paroles forcées. Elle s’accrocha plus fortement à sa mère et celle-ci retira sa main sans lui octroyer un regard, chose qui étonna Mikan.

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Mikan va t’en. J’ai des choses à dire seule à seul avec monsieur Hyûga, dire son nom sembla écorcher les lèvres de Yuka.
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Mais... commença Mikan.

Elle n’eut pas l’opportunité de finir sa phrase que Yuka lui glaça le sang de son regard. Jamais elle n’avait vu sa mère dans cet état. Elle finit par reculer d’un pas, comme si on venait de la bruler. Hiro, lui, affichait un regard fier, comme si tout se déroulait selon son plan. Mikan eut l’envie de partir en courant, mais ses jambes refusaient de faire un pas de plus. Elle avait l’impression d’être prise entre deux chiens errants. Cela ne lui disait rien qui vaille. Il y eut des injures et des hurlements, mais elle ne suivit pas du tout la conversation. Elle était pétrifiée, apeurée et surtout vulnérable. Elle sentit quelque chose la pousser en arrière et la tirer hors de ce champ de mine. Elle courut aussi rapidement qu’elle le pouvait laissant son cœur reprendre une cadence normale. Ils finirent par s’arrêter et elle put regarder la personne qui venait de l’extirper de cette situation. Lui… N’était-il plus contrarié contre elle ? Pourquoi venait-il de la sortir de cette impasse ? Elle le regarda complètement perdue et eut un mouvement de recul quand elle vit son regard froid se tourner vers elle.

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Idiote ! Ne te mets jamais entre mon père et ta mère. On n’a jamais compris ce qu’il pouvait se passer entre ces deux là, mais ils sont incontrôlables.

Se faisait-il du souci ? Ce regard froid était-il plus craintif qu’autre chose ? Elle fut prise d’un hoquet incontrôlable et ses sanglots silencieux recommencèrent. Bon sang… Pourquoi fallait-il qu’elle se montre si vulnérable face à lui ? Il sembla tirailler entre le fait de la prendre dans ses bras et celui de la laisser en plan toute seule, elle vit son poing se fermer et il grommela quelque chose d’incompréhensible. Mikan frotta ses yeux rougis de ses mains, toujours en pleine crise de sanglot.

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Je ne comprends plus rien… Elle semblait véritablement perdue et attristée par cette situation.
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Elle entendit un soupire et se tourna vers Natsume, je te rassure, moi non plus…

De quoi parlait-il ? De la situation qui opposait leurs parents ou de leur relation ? Elle le fixa et vu pour la première fois après leur rupture une lueur de tendresse dans ses yeux. A ce moment, elle voulut tout lui avouer, pouvoir à nouveau se blottir contre lui sans avoir à craindre quoique ce soit de la part de son père, mais elle fut à nouveau effrayée. Elle ne pouvait pas… Elle ne pouvait rien contre lui… Elle détourna le regard, fixant le sol et ses sanglots semblèrent redoubler d’intensité. Elle se sentait si nulle…

Elle sentit un contact chaud au niveau de sa joue, la main de Natsume resta un instant sur cette parcelle de sa peau et finit par parcourir la petite distance qui la séparait de sa nuque. Mikan ressentit à nouveau ses frissons qu’elle pensait avoir oublié et le regarda dans les yeux. Elle ni vit aucune haine, aucune reproche… ses yeux étaient remplis de cette lueur qu’elle pensait ne plus jamais voir de sa vie… de l’amour. Elle rougit et un sourire s’étira sur le visage du jeune homme, continuant de caresser la douce peau de son cou.

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Peu importe tout le reste, tu seras toujours à moi, cela avait beau être un murmure, Mikan savait pertinemment que pour lui s’était une certitude.

Mikan sentit une petite pression qui l’obligea à se coller contre le mur et Natsume vint se placer juste devant elle, l’empêchant de s’échapper. Mais elle n’en avait aucune envie… Elle sentit ses lèvres parcourir sa nuque, la laissant toute chose. Elle osa à nouveau plonger ses yeux dans ses pupilles de feu et sembla s’enflammer comme auparavant. Cela lui avait tant manqué… Elle ferma ses yeux sentant son souffle s’approcher et accueillit son baiser, le savourant comme si celui-ci était son tout premier. Elle passa ses bras autour de son cou et sentit Natsume la serrer contre lui, comme s’il craignait qu’elle échappe à nouveau à son contrôle. Pendant quelques instants, elle oublia tout… Rué, sa mère, Hiro, ses menaces… Absolument tout. Elle profita simplement de ses baisers ardents et féroces. S’il savait à quel point elle pouvait être folle de lui…

Mais les retrouvailles furent brèves. Ils se séparèrent rapidement en entendant un cri perçant, un cri de femme. Mikan sentit son cœur se tordre et regarda Natsume affolée. Il sembla d’ailleurs être dans le même état. Ils coururent à nouveau vers la salle de représentation, Kanha était sur le sol, une joue en feu et en pleurs. Yuka, hors de contrôle, se trouvait sur Hiro et essayait de l’étrangler. Mikan éloigna sa mère, la rassurant et Natsume attrapa son père par l’arrière, le tenant fermement par les bras, afin qu’il ne se jette pas sur la jeune femme. Yuka hurla, ressemblant à l’instant à une hystérique.

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Tu n’es qu’un connard Hiro !!! Tu mérites de crever !
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Mikan vit le torse de Hiro trembler et elle finit par entendre un rire presque mesquin, cet homme était vraiment une enflure…, Crever ? Comme ton cher mari ?

Yuka vira au rouge sang et Kanha se redressa rapidement, empêchant sa meilleure amie d’avancer. Celle-ci se calma d’ailleurs un peu en voyant son amie d’enfance peinant à rester sur ses jambes. Mikan finit par soutenir la mère de Natsume, pour qu’elle puisse rester debout.

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Ferme là Hiro ! Ton petit jeu n’amuse plus personne, cracha Yuka essayant de garder son calme.

Mais Hiro continua de rire et Natsume dut resserrer la pression sur son père. Il fixa Mikan de son sourire mauvais et ses yeux pétillèrent d’une lueur qui fit presque peur à la jeune femme.

C’est plutôt toi qui joue Yuka, ajouta-t-il d’une bonne humeur malsaine. Quand oseras-tu dire à cette gamine qu’Aoi et Natsume sont ses demi-frères et que je suis son père. 

Mikan ne suivit plus aucuns mots de la conversation. Elle sembla tomber dans un gouffre sans fin, son âme hurla et son corps finit par sombrer dans l’inconscience.


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Commentaires: 13
  • #1

    Seetsuna (mercredi, 11 février 2015 15:48)

    Ah bah voilà. Forcément le chapitre se termine devant une révélation affreusement choquante. Mais tu n'as pas le droit de faire ça à tes lecteurs !
    Tout d'abord, je voudrais t'annoncer que j'ai également lu le One-Shot qui est super bien écrit ; un peu rapide cependant au niveau de la "bataille finale avec Sakura" si je me permets. J'ai du mal avec le cliché du discours héroïque qui remet l'ennemi dans le droit chemin. Mais tu as choisi ce type d'écriture, donc je n'en dirai rien.
    Ce chapitre était court mais presque parfait (rien ne l'est), certaines phrases m'ont faite rêver : "- Peu importe tout le reste, tu seras toujours à moi, cela avait beau être un murmure, Mikan savait pertinemment que pour lui s’était une certitude." ; "Elle profita simplement de ses baisers ardents et féroces. S’il savait à quel point elle pouvait être folle de lui…". Je trouve ces deux citations adorables, et totalement passionnelles.
    Je suis contente que le chapitre se termine comme cela, j'adore ce genre de révélation en vérité (même si ne pas avoir la suite maintenant fait un peu mal mais je suis patiente).
    Bon, je t'encourage pour la continuation, j'ai adoré ce petit 17, j'ai bien hâte de connaître la suite.

    A bientôt, avec une soif de te relire.

  • #2

    cathia (mardi, 17 février 2015 00:45)

    j'adore mais moi je suis au chap 21 donc tu pourra posté les articles car elles ets trop bien!! ;)

  • #3

    Ezra (dimanche, 22 février 2015 10:27)

    J'adore ! C'est dingue comme tu écris bien et tu t'appropries les personnages du manga ! J'esspère avoir par la suis encore plus de scène de vie commune entre Mikan et Natsume , évidement après avoir lu ta fiction de base je sais a quoi m'attendre et j'ai hâte de voir la façon dons tu vas la réécrire ! Je ne sais plus quoi commenter à par le fais que je me suis fait t'es 17 chapitre en une soirée ! Bonne continuation j'ai hâte de connaître la suite ! Bisous !

  • #4

    Ayumi (lundi, 23 février 2015 12:25)

    Setsuna > j'avoue j'adore faire ça XD laisser un maximum de suspense, y a rien de mieux. Merci encore pour tous tes avis :) Pour ce qui est du one shot je t'avoue, le coup du héros qui moralise le méchant, ça passe difficilement avec moi aussi. Mais comme je l'ai dis tout en haut du one shot, j'ai écris ce petit pâté il y a des années et je suis attachée à sa tournure des choses. Je l'ai juste remis au gout du jour niveau écriture mais je n'ai pas tout du changer sa façon d'être. J'aime comme il est, même si quand je le lis j'ai l'impression d'avoir à nouveau quatorze ans XD dis donc ça remonte à loin...
    Je suis vraiment contente que mes phrases passionnelles te touchent, c'est le but héhé. J'adore écrire ce genre de scène mais je ne sais jamais comment le voit le lecture. Alors vraiment, j'en suis trop contente. *la nana qui se répète*
    J’espère à nouveau avoir le plaisir de relire un commentaire de ta part au prochain chapitre <3

  • #5

    Ayumi (lundi, 23 février 2015 12:28)

    Merci Cathia :3 contente que ça te plaise. Je prend mon temps pour le dernier chapitre de correction, car je le modifie énormément au niveau de plein de chose ^^ d'ailleurs j'ai raccourcis le chapitre ici, donc ton chapitre 21 sur mon ancien blog équivaut au chapitre 17 sur mon site. N'hésite pas à les relire, ils ont vraiment changer dans pas mal de chose. A bientôt !

  • #6

    Ayumi (lundi, 23 février 2015 12:32)

    Merci beaucoup Ezra. J'en ferais d'autres des scènes de vie communes entre Mikan et Natsume. Tout d'abord parce que j'adore ce couple XD et ceux qui me connaissent bien savent que c'est mon dada les petits récit romantiques bien niais mdr. Pour ce qui est de la fiction de base, le prochain chapitre va peut-être (je dis bien peut-être) complétement changer de ce qu'on avait avant. Je me tâte... J'y réfléchis encore. C'est pour ça que j'ai un peu de retard, j’espère pouvoir poster la suite ce soir. Au plaisir de te relire. Bisous :3

  • #7

    liloulop (lundi, 23 février 2015 23:17)

    j adore ta fic :)

  • #8

    Ayumi (lundi, 09 mars 2015 11:06)

    Merci Liloulop ^^

  • #9

    Hanna (jeudi, 08 juin 2017 11:41)

    Youpiiii reconciliation *o*

    Par contre tjrs a faire chier son monde beau papa grrrr Il ment ils ne peuvent pas être frère et soeur TOT

    Yuka aurait dut étrangler plus fort tiens !!!

  • #10

    Ayumi (jeudi, 08 juin 2017 16:55)

    J'avoue elle aurait du le taper comme toi ahahah XD
    Que veux-tu faut bien un peu de suspense

  • #11

    Carla (samedi, 19 août 2017 14:00)

    C'est trop bien vraiment bravo ��

  • #12

    Ayumi (lundi, 21 août 2017 17:37)

    Merci Carla pour ton commentaire.
    Heureuse que mon récit te plaise ♥

  • #13

    Fac (mardi, 27 mars 2018 22:42)

    Très bien, tu m'as choquée à vie, merci ToT
    Mais cette histoire est vraiment beaucoup trop bien, j'adore ton style d'écriture