Chapitre 15 - Kaichou wa maid sama

Et voilà le chapitre 15 corrigé après 3 mois d'attente ><"

Navrée pour le temps d'attente, mais les fin d'année en vente sont difficiles. 

Je vous corrige rapidement le chapitre 16 et après nous passerons aux nouveaux chapitres ! 

A bientôt mes petits loups ! 

Bisous :3 

PV Misaki }

 

J’étais partis dans ma chambre sans un mot, me plaignant d’un subit mal de tête. Heureusement Shizuko n’avait rien dit à propos de notre petit travail secret et je pus donc m’éclipser sans aucun problème. En arrivant dans la chambre, je fus prise d’un irrésistible envie de fondre en larme. Je m’étalais sur le futon d’un air mollasson et attendit que cette stupide envie se fasse la malle. Je fermais les yeux me concentrant sur ma respiration afin de faire le vide. Il était dur de rester de marbre alors que la personne qui vous avait briser le cœur se trouvait juste à l’étage. Et dire que j’avais pris soin de m’éloigner le plus possible, afin de faire un trait sur lui. Le destin était vraiment tragique. Je me mis à compter les lignes dessinées sur le mur de la chambre d’hôte de ma tante afin de me distraire un peu et soupirait, me rendant compte que cela ne fonctionnait pas du tout. Je n’arrivais pas à faire comme s’il n’était pas là. Bon, on dit souvent que la nuit porte conseil et guérit tous les mots. Voyons si cela est vrai.

 

La nuit fut très loin d’être reposante. Impossible de fermer les yeux plus de cinq minutes sans que des tremblements ne m’assaillissent. Je tournais en rond, ne réussissant qu’à m’octroyer un terrible mal de crâne. Je soupirais, repoussant la couverture vers mes pieds et m’assit quelques instants. Le temps avait passé à une allure plutôt rapide et la lumière donnant sur le couloir s’était éteinte depuis plus de deux heures. Il est vrai qu’il était plus de trois heures du matin, Tante Anako dormait surement depuis quelques heures déjà. Je me redressais, pestant contre ce satané Morphée qui avait toujours le chic pour m’oublier les bons jours et me dirigeait vers la penderie afin d’enfiler quelque chose de plus chaud. Il fallait dire qu’à Okinawa, les soirées étaient aussi fraiches que les journées étaient chaudes. Une petite sortie à l’extérieur m’épuiserait peut-être et puis, tourner en rond comme un lion en cage ne résoudrait rien. J’attrapais un peignoir mauve dans la penderie et l’enfilait par-dessus mon pyjama rustique. J’avais échanger les luxueuses robes de nuit d’Usui contre mes shorts courts et mes t-shirts à motifs enfantins. C’était certes peu attirant, mais ce genre de tenu avait au moins l’avantage de me faire sentir moi-même. Et puis, à quoi bon être attirante ? C’était le cadet de mes soucis en ce moment. Je grognais contre mes propres pensées stupides et sortit de la chambre à pas de loup.

 

Je fermais délicatement la porte derrière moi, afin de ne pas produire d’éco dans le couloir et marchais sur la pointe des pieds. Foutue parquet de bois usé, au moindre faux mouvement il pouvait se mettre à grincer. Par chance, je réussi à atteindre la porte au fond du couloir sans encombre. Je l’ouvris en silence et sortit sans attendre. Le temps était au beau fixe, le ciel dégagé et éclairé par les étoilés du soir me calma de suite. Je fus pris d’un léger tressaillement et recouvrit mes épaules dénudées. Le temps avait beau être clair, je ne devais pas me faire avoir. Je tomberais facilement malade si je continuais ainsi. Le vent du soir fit voltiger mes cheveux ainsi que le bas de mon peignoir, continuant tranquillement son chemin dans les rues désertes. Pourquoi ma vie ne pouvait-elle pas être aussi limpide que ce temps magnifique ? Je soupirais de plus belle et m’assit sur un banc non loin de l’auberge, dans une jolie clairière aménagée par ma tante Anako. Elle avait vraiment le sens du détail. Je me détendis un peu, penchant ma tête en arrière, toujours aussi hypnotisée par ce ciel si calme.   

 

Le vent grignotait mon visage et mon cou, me faisant trembler de froid. J’essayais de remonter mon peignoir sur mon cou, voulant me protéger un peu. Je passais ma main dans mes cheveux, voulant les remettre en place et mon regard fut attiré par les lumières émises de la terrasse d’Usui et de sa tendre fiancée. Leur porte coulissante était ouverte et les rideaux blancs volaient à l’extérieur de la pièce. Je fermais les yeux pour quelques instants, essayant de faire le vide à nouveau, mais avoir la vérité sous les yeux était encore plus perturbant. La voix stridente d’Inori me réveilla. Elle hurlait à la mort, d’une voix aiguë à en casser la vaisselle. Elle semblait se plaindre comme à son habitude et ses hurlements pouvaient réveiller les morts. Je trouvais cela tellement idiot, enfaite tout chez cette femme était idiot. Dire que j’avais fait un effort considérable pour ne pas faire un bruit en sortant et elle se permettait d’hurler pour n’importe quelle raison, réveillant absolument tout le monde dans l’auberge. Elle n’avait aucun respect pour le sommeil des autres. Il était quatre heures du matin passée… Abrutie… Mais soit. Je m’étendis sur le banc, gardant un œil sur la terrasse de mon ancien amoureux. Si seulement les choses n’avaient pas changé entre nous, je serais certainement la femme la plus heureuse du monde. En pensant à cela, les larmes me remontèrent au visage et j’eus à nouveau une envie folle d’éclater en sanglot. Mais il fallait se retenir, je fermis les yeux le plus fortement possible, respirant par petite dose. Du calme Misaki… du calme. Je posais ma main sur mes yeux enflés.


Je suis crevée ... dis-je en soupirant d’un air fatigué.

Bah va dormir Kaichou.

 

J’ouvris les yeux aussi rapidement que je les avais fermés. Mon regard croisa celui d’Usui, qui se trouvait sur la terrasse revêtu d’un simple caleçon. Il semblait agacé et tout aussi fatigué que moi. Il avait vraisemblablement fermé la porte derrière lui car Inori ne l’avait pas collé comme à son habitude. Je me redressais, restant assise sur le banc et lui offrit un regard dur sans aucune parole. Comment cet idiot avait-il osé m’adresser à nouveau la parole comme si de rien était ? Il arborait un sourire innocent à mon encontre ce qui m’énerva encore plus. Il s’accouda à la rambarde de la terrasse tout en me fixant avec ses yeux verts captivants. Je ne pus m’empêcher de grogner, évitant son regard le plus possible. Il fallait que je lui fasse comprendre que j’étais encore énervée contre lui, afin de lui montrer que je n’avais absolument plus rien à voir avec lui. Il leva les yeux au ciel, un peu attristé et soupira également.


Je peux comprendre que tu réagisses comme ça. 
Hum...

 

C’était le seul son qui avait réussi à sortir de ma bouche. Au moins, il avait eu l’audace d’avouer qu’il avait été un véritable salopard. Je ne pris même pas la peine de lui accorder une véritable réponse, ni même un regard. Il soupira à nouveau, vraisemblablement touché par le peu d’intérêt que je lui attribuais. Il continua tout de même sa conversation, essayant de garder une voix calme et posée, bien qu’il s’emmèlait les pinceaux de temps à autres.


Mais j'aimerais tout de même avoir une petite discussion avec toi, alors si tu le veux bien, dit-il en se grattant le sommet de la tête, gêné par ses paroles et surtout par le silence de son interlocutrice. Je t'attendrais demain, disons ici... dans cette chambre. 

 

Je ne pus m’empêcher d’ouvrir grand la bouche face à sa demande. Il avait vraiment eu le culot ? Il se foutait de moi. Un bruit incompréhensible et incontrôlable sortit de ma bouche, un mélange de rire absurde et de soupire dégouté. Il ne répliqua rien, ne faisant aucun commentaire à ma réaction pour le moins explicative. J’entendis clairement la porte s’ouvrir quelques secondes après et des pas entrer à nouveau dans la chambre. Inori hurla à nouveau contre Usui, lui demandant ce qu’il faisait dehors dans cette tenue et cette scène me fit sourire. A moins que je ne sourisse pour sa requête pour le moins audacieuse et culottée. Je soupirais face à toutes mes interrogations et me releva pour me diriger à nouveau vers ma chambre, cette fois ci sans me soucier du peu de bruit que je faisais. Après tout cette idiote d’Inori avait déjà réveiller tout le monde… J’entrais dans mon futon, pleine d’idées en tête, me disant d’après tout deux heures de sommeil m’aideraient peut-être à résoudre tout ça. Au moins, cela ne me ferait pas de mal.

 

Le lendemain arriva plus vite que prévu. Et ce fut Suzuna qui eut le privilège de venir me réveiller. Elle tambourina à la porte pendant plus de vingt minutes avant de s’avouer vaincu et venir me secouer tel un prunier. Je grognais de plus belle, ronchonne de n’avoir dormi que deux heures dans une nuit entière. J’ouvris les yeux difficilement regardant Suzuna, qui sans m’étonner, semblait également exténuée de sa nuit. Elle bailla d’une façon peu élégante, qui devait d’ailleurs être transmis à toutes les filles de notre famille et me pria de me lever. Je soupirais, sortant difficilement du lit, sachant pertinemment que si Suzuna ne me réveillait pas, c’était tante Anako qui le ferait. Et si elle avait aussi peu dormi elle aussi, j’avais peur d’avance. Je m’étirais tel un chaton sortit de son long sommeil et me levait d’une traite. Sweet sortit également du futon et passa par l’entrebâillement de la porte sans m’attendre. Cette chipie savait pertinemment que dans la cuisine l’attendait son petit déjeuner, ainsi que ses petits bonus quotidiens. C’était un véritable petit diable.

 

Ma sœur me fixa pendant encore quelques instants, s’attendant certainement à ce que je me recouche d’un instant à l’autre. L’idée était tentante…


J'arrive Suzuna... deux minutes. 

 

Elle acquiesça poliment avant de sortir silencieusement de ma chambre. Je soupirais à nouveau d’un air las, complétement écœurée de devoir quitter la chaleur réconfortante et accueillante de mon lit douillet. Dire qu’hier soir c’était un calvaire pour s’endormir… mais soit. D’un effort surhumain, je réussis à me persuader de poser un pied en dehors de mon futon, me faisant frissonner face à la température ambiante de la chambre. Courage Misaki… J’enfilais rapidement mes chaussons usés et enfilait mes habits de la veille qui trainaient dans un coin de la chambre. Une fois habillée et coiffée, je me dirigeais rapidement vers la cuisine où mes amis et ma famille m’attendaient déjà, seule ma mère semblait absente. Je les saluais d’un air peu réveillé et m’installait à ma place pour prendre mon petit déjeuner. Une simple tartine me suffirait amplement, mon ventre n’était pas assez éveillé pour avaler quoique ce soit d’autre. Je sentis une masse se frotter à mes jambes avant d’entendre un doux miaulement de chaton. Je ne pus m’empêcher de soupirer en souriant.


Non, non Sweet, dis-je d’un air gaga comme chaque propriétaire d’animal. Tu as certainement déjà eu ta part. 

Ah bon ? s’offusqua Hinata, se demandant s’il avait fait une bêtise. Mince, je viens de lui redonner un bol de lait. 

Et moi, je lui en ai donné un juste avant que vous ne soyez là, ajouta Sakura d’une moue timide et embarrassée.

 

Quand je vous disais qu'elle arrivait à embobiner tout le monde. Elle avait donc eu trois rations de lait au lieu d'une. Je rigolais de bon cœur face à cette histoire. Ma mère ne tarda pas à nous rejoindre, un peu endormie comme nous tous mais surtout étonnée et un peu perdue. Elle nous salua avant de s’avancer vers sa sœur pour lui parler.


Au faite Anako, je viens de voir ta cliente du deuxième. Elle exige son petit déjeuner oriental dans sa chambre dans cinq minutes. 

 

Je vis ma tante faire les yeux ronds, avant de se frapper la tête avec la paume de sa main, ronchonnant de plus belle face à une exigence aussi stupide. Voilà où menait d’être gentille et aimable avec des parfaits inconnus. Elle s’excuse vis-à-vis de nous et sortit de la cuisine afin d’avoir une conversation avec une certaine cliente. Tante Anako eut à peine le temps de partir que des questions vis-à-vis de ces nouveaux clients fusaient déjà de toute part.


Je me demande bien à quoi ils peuvent ressembler ces deux-là.

Ouai... en tout cas, ils n'ont vraiment pas l'air commode. 

 

Sakura acquiesça, alors que ma mère s’assit à nos côtés sans faire de commentaire. Pour ma part, je sentis le regard accusateur de Shizuko sur moi. Après tout, elle savait pertinemment qui étaient ces mystérieux invités. J’essayais simplement de penser à autre chose, croquant nerveusement dans ma tartine à présent froide.


PV Takumi 

 

L’après-midi fut d’un calme réconfortant et agréable. Après que la gérante de l’auberge eut envoyé bouler Inori, celle-ci partit prendre son petit déjeuner ailleurs, d’un air outrageusement vexé. Pour ma part, j’eus le plaisir de rester seul dans la chambre, rendant ladite fiancée encore plus enragée. Mais peu importe, je n’avais aucune envie de devoir faire le gentil fiancé une seconde de plus. J’étais épuisée. Elle était donc partie, d’un air théâtral, son petit sac à main à l’épaule. Je soupirais d’aise, m’étendant sur le lit avec une seule idée en tête : rattraper le peu d’heure de sommeil que j’avais réussi à avoir. J’étais heureux d’un chose, refuser cette sortie en tête à tête avec mon affreuse fiancée me dispensait de porter des sacs de shopping. Il fallait avouer que ses valises n’étaient pas assez lourdes voyons…

 

Je fermais les yeux pour ce qui aurait dû être dix petites minutes, mais loin de là. J’ouvris un œil endormi vers l’horloge digitale dans le coin de la chambre, qui m’indiqua précisément quinze heures vingt-cinq. Quoi… L’heure avait défilé devant mes yeux sans que je ne puisse m’en rendre compte. Je grognais entre mes oreillers duveteux, me demandant comment j’avais pu me laisser autant dupé par le sommeil. Je baillais à m’en décrocher la mâchoire, savourant les précieuses minutes qui me séparaient de mon horrible fiancée. Que je n’aurais pas penser aussi court par ailleurs…

 

Je n’eus même pas le temps de me réveiller convenablement, entendant au loin les pas d’Inori monter les marches de l’auberge quatre à quatre. Cette fille avait vraiment un grain. La nuit dernière elle avait déjà démonter un total désintérêt pour le bien-être et le sommeil des autres, mais là, elle me dépassait. Était-elle vraiment aussi égocentrique ? La question m’éfflora à peine l’esprit, car le fracas de la porte contre le mur me fit sursauter. Cette agressivité était toujours aussi déconcertante.


Mon Takumi chéri, minauda-t-elle d’une voix à m’en donner la nausée. J'ai une excellente nouvelle à t’annoncer ! 

 

Je feignis un semblant d’intérêt pour sa conversation, restant toujours couché la tête dans les oreillers. Autrement dit, dans une position totalement à l’opposé de quelqu’un qui vous écoute avec intérêt. Elle continua tout de même sa tirade, sans être offusqué par mon manque total de politesse. 


Mon père vient de me demander de retourner à Tokyo pour que j'aille faire les courses avec lui, chantonna-t-elle s’asseyant sur le lit juste à mes côtés.

 

Elle sembla si radieuse que j’en eu des sueurs froides. Elle m’envoya un sourire heureux à m’en glacer le sang et s’amusa à tapoter mon bras nu avec l’un de ses doigts. Toujours aussi guillerette. On aurait dit une enfant jouant avec l’un de ses premiers cadeaux de noël.


Et devine pour quoi ? 

 

Je ne pus m’empêcher de déglutir face à cette question piège. Je me sentais vraiment mal à l’aise et les sueurs froides ne faisaient que redoubler d’intensité. Je bafouillais une réponse quelconque entre les oreillers.

 
Pour Noël ? 

 

Réponse totalement stupide vu que Noël était dans plus de six mois. Inori rit de bon cœur, ce qui me flanqua encore plus la frousse. J’avais l’impression d’avoir une bombe à retardement en main.


Mais non idiot, dit-elle en secouant la tête en forme de négation. Elle continua de jouer mon bras, traçant un chemin jusqu’à mon cou. Nous allons acheter ma robe de mariée pour notre union prochaine.  

 

Apprendre que notre mariage ne tarderait pas m’assomma complètement. Certes je savais qu’il était déjà programmé, mais pas aussi proche. Inori s’empressa de m’embrasser furtivement sur la joue, comme pour me charrier et partit en trottinant, une de ses valises derrière elle. Étrangement cette fois ci, elle descendit les marches tranquillement sifflotant un air guilleret, complétement sur son petit nuage. Merde… comment j’allais pouvoir me sortir de ce pétrin… J’avais de sacrés doutes sur le fait d’y arriver finalement.

 

Une seule envie me traversa l’esprit par la suite, m’enfoncer la tête contre le mur ou mieux encore, partir en guerre et m’engager en tant que soldat de première ligne afin de mourir en paix. Vivre avec cette fille était cent fois pire que de servir de chair à canon. Je passais une main dans mes cheveux, m’arrachant au passage une bonne poignée d’entre eux et soupirait de dégout. Et dire que Misaki n’avait même pas voulu venir me parler. La voir m’avait certes fait du mal mais en même temps cela m’avait réconforté. J’avais la terrible impression de ne pas l’avoir vu depuis une éternité et le manque devenait insupportable…

 

Les trois coups secs contre la porte me sortirent de mes pensées, me faisant sursauter de plus belle. Inori avait-elle oublier quelque chose ? Mais pourquoi prendrait-elle la peine de frapper à sa propre chambre ? Déjà qu’elle ne le faisait pas quand c’était la chambre de quelqu’un d’autre, la mienne en l’occurrence… Je soupirais à nouveau, à mille lieux de m’imaginer qui je trouverais derrière.

 

J’ouvris la porte d’un coup sec et brusque, faisant sursauter mon invitée. Devant moi se trouvait Misaki, les cheveux en pétard et l’air complètement surpris. Elle avait ouvert la bouche comme pour me hurler dessus, mais ma réaction excessive et subite l’avait coupé dans son élan. Elle se reprit rapidement, un air grognon et réprobateur. Elle joue nerveusement avec ses mains, comme pour chercher ses mots et essaya le moins possible de croiser mon regard, les joues légèrement rougies.


Ne pense pas que je suis venue pour toi... commença-t-elle d’une voix posée et claire. Je voulais juste te dire que…

 

Mais elle n’eut pas le temps de dire quoique ce soit d’autre. Je l’attirais contre moi avec force, plaquant mes lèvres contre les siennes d’une force incontrôlée, d’un geste avide de passion.

 


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Commentaires: 3
  • #1

    Bubulle (dimanche, 29 janvier 2017 09:46)

    Houraaaa
    *convoque un stade entier pour ovationner avec elle* merciii infiniment! Maintenant j'attends la suite avec encore plus d'impatiente :3 (c'est mon chapitre préféré ;) )
    Gros gros bisous
    bubulle

  • #2

    misa (dimanche, 12 février 2017 15:33)

    :'''''''''''''''''''''''''''(
    Pourquoi tu coupe maintenant :''''''''''''''(
    Pourquoi! MaiS POURQUOI ! * est en train de s'arracher les cheveux *
    Sinon c'est encore parfait et j'ai hâte de la suite <3

    Mais attendez ... Usui qui embrasse Misaki avec force dans une chambre qui comporte un lit et sa fiancée qui est pas là .... hot hot hot xD ..

    Bisous bisous <3

  • #3

    misa (dimanche, 05 mars 2017 13:28)

    je veux la suite
    :'''''''''''''''''''''''''''''''''''''''''''''''''''''''''''''''''''''''''''''''''''''''''''''''''''''
    ''''''''''''''''''''''''''''''''''''''''''''''